Cassiopea… Vaste ville souterraine… Cassiopea est le rêve de l’humanité, loin des automates, enfouis sous la surface, sous les décombres, dans les ténèbres la ville ne dors jamais…
Et putain, Jade non plus !!! Je suis son garde du corps… Enfin, on me demande de l’être parce que cette gamine ne l’entend pas de cette oreille. Moi, je pensais que ce serait un boulot sympa, bien payé avec un peu d’action de temps en temps. Mais au final, je suis une putain de baby sitter ! Et Jade Sheffield n’en veux pas…
C’était bientôt l’heure du souper, elle avait râler dans la calèche, sur tous le trajet. Fatiguante… Elle m’avait dit qu’elle allait se changer, mais en regardant ma montre a gousset, j’ai constaté que ça faisait plus d’une demi-heure… Alors, je me suis mis a tambouriner a sa porte. Pas de réponse. Un mauvais pressentiment m’a traversé l’esprit, j’actionne la poignet et pénètre dans sa chambre… Vide…

Je me précipite à la fenêtre, passant ma tête par l’ouverture, au milieu des rideaux soulevé par le vent.

“Merde !”

Je lève la fenêtre jusqu’en haut et passe par l’ouverture pour descendre le long de la gouttière, le mur est froid et humide et surtout… Je ne fais pas le même poids que Jade. J’entends la gouttière qui grince et je jette un oeil vers le haut, je la vois se torde lentement.

“Merde !”

Je descend encore un instant avant que le grincement n’annonce une rupture de la conduite. Je lâche tous et me vautre lamentablement dans la ruelle humide. Je me redresse, époussette mon manteau gris, taché de flotte.

“Re merde !”

Si cette équipé avait déjà bien mal commencé, c’est a cette instant que les choses se sont corsées.

(...)

Arpentait les pubs et les tavernes, les lieux de beuverie, poser des questions, devoir faire le coup de poing pour obtenir une réponse ou enquillé quelques verres pour délier les langues…
Chaque instant qui passe peux lui coûter la vie et la mienne par la même occasion.
Ca me prend deux bonnes heures avant de savoir qu’elle a échoué dans le quartier des divertissement des Storming… Quelle riche idée, mademoiselle Sheffield ! Je parviens jusqu’à la fameuse turne où ma “patronne” doit être en train d'enchaîner les brandy et les whiskys.
La maison est grande, assez tape a l’oeil avec ses dorures écaillés et ses sculptures étranges.
Je pénètre les lieux, poussant la porte d’un main et observant les occupants. Un gros videur se lève, il porte un gilet sur une chemise grise, ses manches sont retroussés et il a le crane rasé.

“Écoute… J’ai pas le temps… Je cherche une femme, blonde, les yeux vert, assez grande. Elle cherche de l’alcool et… d’autres trucs…” dis je en haussant les épaules d’un air contrit.

“Qu’éce j’en ai a fout’e !”

La négociation s’annonce bien...

La maison Storming, si à la base j’avais cru que ce lieu était une sorte de maison de passe. Il se trouve qu’il s’agit de la demeure de Raphael Storming. Comment je l’ai appris ? C’est le nom qu’à articuler le gros videur au crane rasé lorsqu’il m’a demandé de sortir.

“Sa vie est en jeu, bordel ! Écoute moi !” dis je en levant les mains devant moi plus en position de défense que dans une attitude agressive.

Il s’avance vers moi, levant les mains comme me saisir, une fraction de seconde je me recroqueville comme si je craignais un coup. Mais j’efface bien vite son sourire en faisant un pas en avant, refermant mes poings et faisant partir un direct dans sa mâchoire, j’entends la crac caractéristique d’une dent qui vient de sauter et il s’effondre de tout son long, les bras dresser devant lui, comme un homme sortant de sa tombe, sauf la… Il ne se lève pas, il tombe. Soulevant un nuage de poussière en atterrissant sur le tapis rouge du petit vestibule.

“C’est vraiment une soirée de merde…”

Et je viens le saisir sous les aisselles pour le traîner sur un sofa, il pèse un âne mort et je grogne en serrant les dents pour le soulever et l'asseoir.

“Putain, t’as mangé quoi ?” Je me met sur le coté, appuie sa tète contre le dossier en bois sculpté et je pose une main sur son ventre genre grosse sieste. Je regarde autour de moi, j'avise un chapeau posé sur une patère et je le met sur son visage.

“Ouais, ben… Ça donnera l’illusion le temps qu’il faut…”

Et je pousse a porte pour pénétrer les lieux. Un lieu de débauche, des seins parc i, des culs par la, la jeunesse dorée de Cassiopea s’enfilant tous ce qu’elle peux les narines. Le contraste est impressionnant avec des gens qui dansent, bien vêtu, entamant une valse délicate que j’aurais pu suivre dans mes jeunes années.
Au final c’est un lieu où je me serai bien senti, sauf que la, j’ai un boulot a faire.

Je tourne dans la pièce, prends une grande bouffée d’air. Elle peut être n’importe où ! Entre les mains de n’importe qui ! Et lorsque je l’imagine dans les bras d’un autre homme, une bouffée de rage m’envahit. Je me dirige vers le bar, le barman m’observe, il hausse un sourcil. Effectivement, si mes vêtements restent de bonne facture et de qualité, ils ne sont clairement pas adapté a la soirée.

“Un whisky ! Un double !”

Il me sert rapidement et je lui fais un clin d’oeil.

“Met ça sur le note de Jade Sheffield.”

Il a encore un jeu de sourcil, mais il hoche la tête. Je me tourne vers la salle, bois le verre cul sec. Je sens le breuvage brûlant descendre dans mon oesophage et j’avise la jeune Tessa, l’un des amis de Jade, l’un de celle avec laquelle elle aime faire les quatre cents coups. Je me fraye un passage dans la foule et je pousse un galant qui discuter avec le jeune femme. Je la pousse contre un mur de la pièce, elle a un hoquet de surprise. Autour de nous chacun vaque a ses occupation, ignorant ce qui se trame dans le coin de la pièce.

“Où est Jade ?”

“Monsieur, c’est ma soirée ! Et vous n’y êtes pas invité ! Comment êtes vous entrée ?”

Je jette un oeil sur le fameux galant que j’avais repoussé, c’était Raphael Storming. Je le regarde de haut en bas et je plante mon index contre sa poitrine.

“Ça tombe bien que tu sois la, taulier. Où est Jade ? Quand il y a cette greluche, la petite Sheffield n’est jamais bien loin.” Dis je en pointant mon pouce par dessus mon épaule en direction de Tessa.

“Mais je n’en sais rien, moi. Elle s’amuse.”

“Et s’il lui arrive un pépin et qu’elle nous fait une overdose parce que ta came est mal coupé ? Imagine qu’elle crève sur un de tes soja hors de prix… Je serai moins cordial, crois moi.”

“Je vous assure que je ne sais pas du tous où elle est… Je.. Je crois qu’elle est partis sur la piste de danse. Elle était avec un homme.”

Un éclair de colère traverse mon regard alors que je fronce les sourcils. Ça arrache un sourire de satisfaction à Raphael, sourire qui s’efface aussitôt lorsque je m’avance d’un air menaçant sur lui.


“Vraiment…”

Alors, une main sur mon épaule me fait me retourner et je grogne :

“Quoi ?” Avant de réaliser qu’il s’agit de Jade. “Que…”

Elle me tend un verre d’alcool et me lance une vanne. Finalement, elle va se vautrer sur un sofa pour se prendre une nouvelle ligne de cocaïne. Cette merde va finir par la tuer… Son rythme va finir par la tuer… Elle se lève comme soudainement prise d’une nouvelle vague d'énergie après s'être enfilé sa came dans le pif… Je grogne mais apparemment, c’est moi le sujet désormais. Elle saisit ma cravate et m’attire vers elle, je crois qu’elle veux me dire quelque chose mais Tessa surgit de nul part et l'entraîne dans la foule sur la piste de danse. Je grogne a nouveau… Je vais finir par ne m’exprimer que comme ça, si ça continue…

Mais soit, je l’ai sous les yeux et c’est le principal. Surtout quand elle se met a embrasser Tessa, me jetant par moment des regards et des oeillades provocatrices… Tu me paiera ça, Jade… Car avouons le, la garce m’excite a mort et déjà je sens poindre les prémices d’une érection que je peine a contrôler. Je détourne le regard et m’adosse contre un mur couvert de lambris. J’observe la salle et je vois rentré un homme a la lèvre en sang, le crane rasé… Le gars de l’accueil. Merde ! Et le con n’est pas seul. Trois hommes l’accompagnent, ils scrutent la salle, les poings serrés, plein de colère. Nos regards se croisent et il parlent a ses acolytes en me montrant d’un coup de menton. Je lui lance un sourire et un clin d’oeil, mais a l’instant où ils viennent dans ma direction, je déguerpis. J’avise une fenêtre et l’ouvre pour la franchir d’un saut souple. Derrière moi, les quatre brutes se frayent un passage dans la foule pour arriver jusqu’à la fenêtre, il galère pour passer, se bousculant pour avoir la primeur de sortir.
Je les attends le pied ferme, je sais que je vais devoir me battre cette fois et pas qu’un peu.
Bordel, Jade, tu me le paiera…
Le premier passe et se redresse pour me faire face, mais je ne lui laisse pas le temps de réagir, j’ai plongé la main dans ma poche pour en sortir mon poing de fer, les anneaux d’acier familier enserre mes poings et une bruit métallique résonne dans la ruelle quand je lui assène un premier coup de poing. Je suis bien décidé a me débarrasser de lui avant que les trois autres soient passé. Quitte a me battre a une contre plusieurs, je préfère trois que quatre.
Mes coups pleuvent, son arcade sourcilière explose sous les impacts du coup de poing d’acier et je recule lorsqu’il n’est plus capable que de gargouiller et de cracher du sang. Je fais face a mes trois opposants, je me met en garde, comme on me l’a appris a l’armée.
Et je perds encore Jade de vu, nul doute qu’elle va encore en profiter pour prendre la poudre d’escampette.

Me voila encore embarqué dans une bagarre pour la jolie Jade… Je devrais dire pour la chieuse, mais bon. La nuit est froide, sauf que moi, j’ai chaud, mon adrénaline monte et la sueur perle dans mon dos, l’excitation, la soif de combat, la soif de sang.
Les trois gars se déploient en demi cercle, le grand baraqué que j’avais assommé bien au milieu et ses potes qui s'éloignent suffisamment pour ne pas le gêner. Ces trois la ont l’habitude de combattre ensemble.
Celui sur ma droite, porte une vielle cicatrice sur la joue gauche et il passe a l’attaque rapidement, je recule pour garder les deux autres dans mon champs de vision. Le baraqué a dut les prévenir car ils ne foncent pas tête baissé. J’esquive son attaque un peu molle, il me teste, il veux voir mes réactions. Je fais jouer mes doigts dans le poing d’acier et le métal capte un éclat des luminaires alors que mon poing part aussi violemment que possible, je cueille sa mâchoire et il part en arrière, se retenant au mur avant de se redresser et de cracher du sang.

“Fils de pute…”

C’est a ce moment que les choses ont vraiment dégénère ! Dans un bagarre, il faut rendre coup pour coup et j’ai donné mon content de mandales ce soir. Le grand baraqué me fonce dessus, mais j’esquive son assaut et vient frapper son ventre, il se plie en deux et mon genoux vient lui faire sauter une nouvelle dent, mais ce n’est pas assez. Le troisième, celui qui louche un peu en profite pour venir frapper mes jambes et me voila a genoux. Un coup de pied arrive vers mon visage mais je le bloque en réunissant mes deux avants bras devant moi. Juste le temps de frapper ses testicules avec le poing de fer qu’un coup de poing de la baraque me fait exploser l’arcade sourcilière, je me redresse en titubant et je prends deux ou trois coups dans le ventre et les cotes sans pouvoir me défendre, aveuglé par le sang qui coule dans mon oeil.
Je bloque un coup a l’aveugle et mon dos vient heurter le mur, je roule et j'entend les os d’un poing craqué en percutant le mur suivit d’un hurlement de douleur. Je lève ma jambe et l’enfonce dans le corps du bigleux qui vient de se péter les doigts. J’essuie le sang avec ma manche et j'entends un cri de femme, je reconnaîtrait entre mille la voix de Jade et je la vois sur le dos du balafré qui s’agite pour se débarrasser du corps de la blonde.
La voila que se met en danger, mais quelle conne !
Attend ! Mais c’est pour moi qu’elle se met en danger !

“Putain de merde !”

Poussé par une nouvelle bouffé d'adrénaline, j’esquive le coup de la grande baraque et vient attraper la tête du bigleux entre mes mains, je lui explose le nez d’un violent coup de tête, me sonnant moi même par la même occasion. je secoue la tête a la manière d’un chien, faisant voler les mèches de cheveux collé de sueur et de sang.

“Mais tu fais quoi, la !?”

Le balafré parvient a la faire tomber sur le sol humide, elle a du s'écorcher dans sa chute, les sillons rouge que je distingue sur son visage dans l’obscurité doivent être l’oeuvre de Jade.
Il lève sa main vers la jeune fille mais je décide que le jeu a assez duré et je dégaine mon revolver d’un geste vif et je colle le canon d’acier glacé sur la tempe du balafré.

“Ça ne m’amuse plus.”

A ma phrase et au contact de l’arme, il se fige poing en l’air. Je tourne mon visage vers la baraque et je lève un doigt en signe d’avertissement.

“Un pas, un geste et je repeints la ruelle avec sa cervelle. On a bien rit, maintenant, tu embarque tes deux potes et vous retournez au chaud boire un thé. Aller ! Cassez vous !”

Grommelant une menace, ils s’en vont en soutenant le bigleux. Une fois qu’ils ont disparut a l’angle de la maison. Je rengaine mon arme et vient m’accroupir devant Jade, les coudes posés sur les cuisses, les mains pendant entre les jambes.


“Ça va aller ?” je demande d’une voix douce.

Je prend son menton entre mon pouce et mon index pour observer son visage, quelques écorchures mais rien d'insurmontable. Je plonge la main dans la poche intérieur de ma veste et en sors un mouchoir que j’utilise pour lui nettoyer les quelques traces de sang épars qui ornent ses joues rose.

“Merci…”

Je suis en train d’essuyer les quelques traces de sang qu’elle a sur le visage et elle me dit qu’elle est une guerrière. Je souris avant de baisser un instant les yeux pour masquer un peu mon sourire et je la regarde de nouveau.

“Oui, j’ai vu ça. Tu es pleine de surprise.”

Et après un instant de silence un peu gêne, je l’a remercie. Elle enchaîne en me disant qu'elle ne pouvais pas rester a me laisser me faire tabasser.

“Je m’en serai sortie, comme toujours. Mais ton intervention a permis d’expédier un peu ce combat qui devenait pénible.”

Je prenais la chose avec nonchalance mais je ne me leurrais pas : seul contre trois. J’avais une chance de gagner, mais je me serait retrouvé dans un état… Une arcade sourcilière ouverte aurait été la moindre des choses. Alors, elle me prends le mouchoir et commence a essuyer le sang qui coule sur mon oeil et macule ma joue et ma tempe.
Finalement, la voila qui rit et me demande comment j’en suis arrivé la.

“C’est ta fugue qui m’est arrivé. Pour rentrer dans la maison j’ai un peu joué au osselet avec les dents du grand baraqué. Apparemment, ses amis l’ont trouvé et réveiller. La suite… Tu la connais…”

Finalement, elle essaye de se lever et je l’aide, elle titube en se tenant la tête. Le coup qu’elle a reçu doit bien l'élancer et la voila qui se plaint d’une bosse, prétextant qu’elle va aller le tuer.

“C’est ça ! C’est l’un des hommes de Raphaël, si tu veux le faire punir parles en a ton ami.”

Je lève mon coude pour lui permettre de passer son bras et je la soutien de cette manière, ensemble nous marchons dans la ruelle pour en sortir, nous avançons lentement. Notre couple doit détonner au premier regard, moi, gigantesque masse de muscle et elle, jeune fille pétante de bonne famille.

“Viens, je pense qu’il est l’heure de rentré. Il va falloir examiner ce coup sur ta tête et je pense qu’après une bonne nuit de sommeil, tu te sentira d’attaque pour m’emmerder de nouveau.”

Et en arrivant dans la rue, je lève une main pour appeler un cab. Le cocher me fait un signe de la tête, m'indiquant qu’il a compris et donne un coup de sangle a son cheval pour qu’il manoeuvre la voiture et se mettre ainsi parallèle à la route.

Contrairement a ce que je pensais, Jade ne fais pas de problème quand je lui dis que nous devrions rentrer. Elle me suit docilement jusqu’à grimpé dans le cab qui se met a cahoter au claquement de fouet du cocher.
Cependant, c’est une fois à l’intérieur que les problèmes commencent. Ses attitudes, ses gestes, tous indiquent la provocation. La manière dont elle se mordille le doigt en me jetant des oeillades lubriques. Et déjà, le renflement de mon entrecuisse indique l’effet que cette petite garce a sur moi. Je garde le silence, les yeux rivés sur elle alors qu’elle joue a m’excitait.

Nous parvenons finalement a destination et je descend le premier pour lui tendre la main et l’aider a sortir du cab tel un gentleman, tel qu’on me l’a appris, dans une autre vie. Elle paye le cocher et nous pénétrons la grande demeure.

Ce n’est qu’arriver a sa chambre que tous bascule, elle me provoque encore de ces regards avides et langoureux. D’une main délicate, la voila qui défait son corset et je déglutis a la vision qu’elle m’offre. Nul doute qu’elle a perçus mon trouble car elle m’attrape la cravate et me tire dans sa chambre pour me pousser sur son lit. Je rebondis sur le matelas moelleux alors qu’elle me grimpa, à califourchon, dessus.

Elle se penche pour m’embrasser, nos langues s'élancent et se tournent autour l’une de l’autre, avide, humide et brûlante de désir. Je viens enserrer sa taille de mes mains puissantes et j’ondule mes hanches contre son entrecuisses, frottant la bosse qui déforme mon pantalon, la ou mon érection, trahit mon désir pour elle. Vu la coupe de sa robe, nul besoin de la lui retirer. En revanche son corset… Il me bouche la vue et je me redresse, prolongeant le baiser par la même occasion jusqu’à le briser. Alors, dans ma main jaillit la lame du cran d'arrêt que je dissimule sur moi. Je le fait briller dans la lueur des bougies et je le pose sur sa gorge blanche.

“Tu pense que je suis ton jouet, Jade ? Détrompe toi…”

Et la lame glisse sur sa gorge, entre ses seins et rebondisent délicatement sur les lacets a moitié défait de son corsage. Mais une fois arrivé tout en bas, vers son entrejambe, je passe la lame sous les lacets et remonte doucement pour trancher le cordon qui me gène, un a un, lentement, sans quitter son visage des yeux. Une fois arrivé tout en haut de son corset, ce dernier tombe sur le sol et je laisse tomber le couteau encore ouvert sur le sol. Il rebondit avec un bruit , alors que j’enlace la taille de la jeune fille pour la soulever dans mes bras et me retourner pour l’allonger a son tour sur le matelas.

Je lui attrape le haut de sa chemise et je tire, la déchirant pour révéler ses seins sublimes et ronds qui rebondissent sous la violence de mon geste.

Je viens de lui déchiré sa chemise et je saisi ses seins dans mes mains massives et puissantes, les pressant délicatement. Je me penche, en prends un en bouche pour le sucer et mordiller le téton que je sens durcir encore un peu plus entre mes lèvres.
Et lorsque je délaisse le premier c’est pour reporter mon attention sur le second, lui infligeant le même traitement. Un peu rude, un peu doux mais lorsque je me redresse, elle me retire mon gilet et le tissu rejoint le sol, puis c’est au tour de ma chemise qui subit le même traitement que la sienne, les boutons rebondissent de ci de la dans sa chambre. Je souris, je me tiens au dessus d’elle, les mains, désormais posé sur les draps de part et d’autre de son corps. Elle caresse mon torse, soulignant de ses doigts mes muscles jusqu’à défaire ma ceinture avec un empressement qui me plaît.

Elle m’attire contre sa bouche en tirant sur ma cravate et nos langues s’entrelacent avec une nouvelle passion. Et finalement, elle me fait basculer pour revenir au dessus de moi. Alors, elle commence a m’embrasser, couvrant ma peau de baisers et de coupe de langue, ses lèvres parcourent mon corps alors qu’elle descend et que ma respiration s'accélère.
Elle me libère de mon pantalon et révèle ma queue en train de se gonfler de sang, de sa main elle la redresse et ses lèvres enroulent ma chair alors que lâche un long gémissement de plaisir, en basculant ma tête dans ses draps. Elle palpe mes boules en même temps qu’elle fait de va et viens sur mon sexe qui n’a de cesse de enfler dans sa bouche et lorsqu’elle relâche son étreinte sur ma verge, elle me regrimpe dessus et vient m’embrasser de nouveau. J’attrape ses fesses dans mes mains et a nouveau, nous roulons dans les draps pour que je me retrouve au dessus d’elle. Ce jeu me plaît, la manière dont chacun cherche a dominer l’autre. L’avantage de sa tenue, c’est que je n’ai pas besoin de lui retirer sa robe pour accéder a son entrecuisse.

Cependant, alors que je suis entre ses jambes, je n’ai pas envie de reculer pour l’a débarrasser de son sous-vêtement. Je passe donc par la phase la plus simple et je lui déchire sa culotte. Son intimité est gonflé de désir, luisante de sa cyprine et je prends ma verge en main pour frotter mon gland entre ses lèvres, caressant son clitoris avant de lentement me guider dans son antre brûlant. Mon sexe s’immisce et s'infiltre et de mes hanches je pousse ma verge tout au fond de son ventre. Je frémis de me sentir ainsi bien au chaud et je la laisse doucement s’habituer a ma présence en elle avant de lentement commencer des mouvements de va et vient. D’abord lentement, j'accélère un peu, gardant des retraits lents pour qu’elle me sente sur toute ma longueur et des pénétrations brutales et sec qui font rebondir ses seins sur sa poitrine.

Je vais et vient en elle, explorant son ventre chaud de ma verge, ma cravate pendant entre nous alors que mes mains posé a plat de part et d’autre de son corps me permettent de me tenir a la verticale au dessus d’elle et de profiter de son visage et de ses gémissements.

Ses bras m'élancent et je sors ses ongles lacérer ma peau, m’arrachant un grognement rauque alors que je montre les dents serré, comme un loup montrerait ses crocs.
J’ondule des hanches avec plus de ferveur et elle m’accompagne en cette danse obscène et terriblement excitante.

Finalement, la voila qui malaxe ses seins, torturent ses tétons entre ses doigts. Son attitude, ses gémissements, sa bouche qui s’ouvre sous les cris de plaisir me donne encore plus d’entrain pour la besogner avec encore plus de sauvagerie. Mes cheveux tombent devant mes yeux, ondulant au rythme de mes coups de reins.

Alors, d’un mouvement de reins, elle me repousse sur le lit et vient a son tour me chevaucher. Elle vient s’empaler sur mon pieu de chair dressé et lâche un gémissement de plaisir intense. Je souris et bascule ma tête en arrière pour gémir a l’unisson. Je saisit sa taille et suis les mouvements de ses reins, nos gémissements s’unissent, s’embrassent alors que nos chairs s’entrechoquent.

Mon sexe va et vient dans son ventre, au fin fond de sa moiteur chaude et humide, insane… Je ferme les yeux, serrant les dents pour amplifier mes coups de triques. Mes mains viennent pétrir ses fesses, que je malaxe et étire, écarte et rapproche.
Un doigt vient masser son anus, tournant autour de sa corolle avant que je ne l’enlace lorsqu’elle m’attire a elle. Mon visage contre sa sublime poitrine, je prends un sein entre mes lèvres et tire avec mes dents sur un téton alors que ma verge continue l’exploration de son antre.
Et quelques instant après qu’elle m’ai annoncé son orgasme prochaine, je jouis. Crachant une épaisse semence tiède dans son ventre, assenant encore des coups de reins, accompagné d’une nouvelle giclés de sperme. Je gémis contre sa peau, mais même après mon orgasme, je continue mes voyages entre ses reins pour l’emporter avec moi, dans la petite mort.